Pode-se dizer que a democracia funcciona. Pelo menos quando os democratas deixam o povo participar na política!...
Pode-se dizer que a democracia funcciona. Pelo menos quando os democratas deixam o povo participar na política!...
É um facto que Salazar era mais suave que Hitler. E talvez por isso mesmo o seu regime durou mais, e Portugal escapou à destruição que a Allemanha soffreu. Salazar era um funccionário público equilibrado, enquanto que Hitler era um hypnotizador soffrido, um soldado trahido e derrotado da Primeira Guerra Mundial. Hitler combattia as forças gigantescas e genocidárias que o seu povo enfrentava, e como homem puro e digno que era, não podia deixar de sentir isso com intensidade.
Quer seja a ameaça communista interna ou soviética, as manigâncias dos anglo-saxões ou dos judeus, a corrosão dos costumes sexuaes do entre-guerra, tudo isso representava um perigo enorme. Era natural que surgisse um Hitler, e essa tomada de poder tinha que ser feita com a brutalidade da democracia fascista. Hitler não teve a sorte, como o Salazar, de ver o exército fazer um golpe de Estado a partir das alturas para endireitar a nação. Seria difícil, para qualquer um, ter feito melhor que o Füehrer.
É comprehensível que haja hostilidade contra o Terceiro Reich. Para muitas pessoas tranquillas e parochiaes elle representa o barulho e a violência industrial. Mas é necessário fazer o esforço intellectual de estudá-lo, e de passar além do discurso simplório ou deshonesto que o caracteriza como o mal supremo. É preciso estudar os apologistas do seu regime, e perceber as circunstâncias do homem e do seu paiz. É preciso soffrer para entender como reage uma alma nas mesmas circunstâncias. Com o tempo, sente-se a grandeza do homem.
A verdade é que a Europa está de novo a viver a sua hora mais negra e perigosa. Vão ser precisos homens puros, corajosos, intelligentes, gigantes: ou seja, dictadores democráticos. É fundamental ser capaz de se assumir como nazi, se não queremos que outros nazis mactem as nossas creanças. O que passa por ahi por anti-nazis são uns racistas monstruosos, e o facto de estarmos paralisados com medo de sermos tractados de nazis, de fascistas e de racistas destroe-nos, fazendo-nos assumir um sentimento de culpa exaggerado que enfraquece as nossas defesas moraes. O racismo protege do racismo, e só elle o faz.
C' est plus tard que l'on comprend.
Os lisboetas estão a preparar um referendo de iniciativa popular sobre eventuaes restrições ao turismo. É algo certamente interessante.
Em Bencatel, a terra mais à esquerda de Portugal, também se podia fazer um referendo popular: o REFERENDO SALAZAR. A pergunta seria a seguinte:
Deve Bencatel fazer uma estátua em honra de Salazar na Praça da República?
Avante Camaradas!
Le Parlement qui est sorti des législatives françaises de 2024 a étonné et déçu beaucoup de monde. Pourtant, il va falloir s'y faire, et peut-être que les gens vont finir par s'en accommoder. C'est qu'il n'est pas forcément mauvais, bien au contraire.
Le Rassemblement National:
Franchement, ce parti est une blague. Une clique d'homossexuels, de femmes insoumises (vous voulez combattre le grand nombre des africains mais vous n'obligez pas vos femmes à vous donner des enfants, beaucoup?... l'avortement comme priorité quazi-religieuse, va comprendre!). Il suffit de voir Marine, une vieille, en mini-jupe et en talons hauts pour se sentir repoussé par le Frontounet. Un parti dont l'élite édulcore systématiquement son discours, et qui éloigne tous les militants intègres et radicaux de toujours. Un parti qui est devenu lâche. Un parti de système qui n'a pas les burnes de marcher sur le parlement, de bloquer les rond-points (allô Gilets-Jaunes?), de lancer des pétards contre la police, de mettre les tentes au Champ-de-Mars, d'occuper la Place de la Nation, de casser la gueule aux anti-fas. Un parti dont les chefs ont peur de passer six mois ou un an en prison. Et ils veulent manger dans la gamelle du pouvoir, retors, qui trouvera toutes les combines pour les en éloigner? Ils ne le méritent pas. Pas encore, du moins. Oú a-t-on vu des français qui ne font pas la révolution? C'est quoi ça, un parti de gonzesses, et des pas bonnes? En un sens, ils ne se sont pas encore battus. S'ils veulent casser le frontounet républicain, ou en faire partie, ils vont devoir changer d'attitude et gagner la foi. Qu'ils fassent comme les talibans: prier, se battre, prier, se battre, etc...
Et puis ils ne peuvent pas commencer par Matignon, non? Il leur faut deux ou trois ministères, histoire d'acquérir de l'expérience. O boccado está reservado para quem o há de comer, comme on dit au Portugal. Il y a certes de la valeur campagnarde chez leur base, ce sont les souchiens, mais il y a d'autres sociologies en France. Leur boulot c'est pas de gouverner, mais de redresser et endurcir le centre.
Le Centre justement:
Certes on se demande si entre un premier-ministre qui se fait entuber par son petit mari et un président qui se fait sodomiser par sa vieille il y a quelque chose à sauver. Tous des castors jouant la comédie ripoublicaine contre le Rassemblement, par dessus bord.
Ceci dit la France a besoin d'un vrai centre, viril. Un “grand frère” un peu trumpien. Quelqu'un qui à défaut d'avoir des idées sophistiquées aie des bons insctincts. Un franchouillet un peu rond, rabelaisiens, gargantuesque, paternel. Quelqu'un qui fasse la liaison entre l'enracinement de la campagne, et le flux des villes. Un arbitre entre les souchiens et les immigrants. Bien que donnant la préférence aux premiers. Bref, Jean-Marie, mûri, en fin de vie!
La Gauche:
Ça fout un peu les chocottes ces beuglards, ces folles, ces voleurs, ces nègres et ces djihadistes. Ils sont très intenses, très sautillants, gourmands. Très africains, quoi! Mais ça a de la gueule, une certaine sincérité qui oblige les tièdes à se désembourgeoiser. C'est la démocratie, ils ont une bouche donc il faut qu'ils mangent. Ils ne devraient pas être aussi colons et aussi racistes, mais il est inévitable qu'ils aient leur mot à dire. Ce ne sont pas des français, dans le sens ethnique du mot, mais ce sont, paradoxalement, des gaulois, dans le sens géographique et citoyen du terme.
C'est la guerre même, avec tout ce qu'elle a de beau. Et ça sera encore meilleur quand à gauche le caliphat afro-islamique aura dégommé les pétasses féministes et les renégats islamophiles du genre de Mélenchon. Au moins tout le monde saura à quoi s'en tenir, et les illusions de l'égalitarisme, de la lahicité et de la neutralité religieuse, l'intégrationnisme et l'assimilationisme, s'évanouiront.
Certes, il va falloir les combattre, être réac, leur rentrer dans le lard. Mais pour ça le souchien va devoir sortir de la zone de confort. Faire la Croisade, renouer avec l'amour de son propre sang. Être moins lisse, sortir dans la rue, pousser le pays vers un petit climat de guerre civile et forcer Jean-Marie à leur mettre une fessée! Vous voulez vous battre on va se battre! La liberté et la vie ne sont pas des droits, elles se méritent par le courage et l'intégrité. Il faut du courage physique et du courage moral de s'assumer comme nazi.
Il y a quinze millions d'africains, et cinquante millions de blancs. C'est jouable, non? Quantos são, quantos são? La criminalité? Avant de casser du bougnoule, il va falloir renverser les franc-macs, les faibles et les complices de l'islamo-racaille présents dans la magistrature, la police et la politique locale. En Russie il y a beaucoup de musulmans, mais ils font moins les cons. Pourquoi?
Conclusion:
Tout va très bien. Que les Français cessent d'être mous, voire lâches, qu'ils se corrigent et qu'ils fassent des enfants. Qu'ils cessent d'être des cocus dégoutants permissifs avec leurs vilaines femmes. Pour l'instant, ils peuvent se sauver en se redressant moralement.
Sinceramente, os tempos que se vivem actualmente são bonitos. São tempos de guerra, de tomar decisões, de tomar partido, de dar a cara. Já não dá para ser morno, porque estamos a morrer e a correr grandes riscos. Todos os perigos se concentram no mesmo momento.
Durante tanto tempo os povos brancos não se oppuseram à destruição. Não castigaram os cobardes e os indignos. Foram burros e acceitaram o discurso dominante que a televisão vomitava. As bases e as elites – ambas – fizeram mil traições que as levaram ao suicídio. Ignoraram e perseguiram os heroes, que os houve. Ainda não estavam preparadas intellectualmente e moralmente para luctar.
Agora vae haver combatte. Uns cahirão, outros triumpharão. Mas seremos todos obrigados a ser sinceros e puros. Salvaremos as nossas almas.
Viva a Guerra!
A estrada que liga Villa Viçosa a Borba ruiu há alguns annos. Não seria tempo de reconstruí-la? O Partido Popular Monárchico, que está na coligação de governo, não faz força para aquillo que se chama a Estrada Real? Se ella volta a erguer-se, será um dia muito symbólico.
Quando a derrocada aconteceu, Lisboa cahiu em cyma das auctoridades locaes. Abafaram tudo com inspecções e burocracias, estragaram os únicos negócios locaes. E toda a gente ficou com o rabo às bufas. Até parece que iam começar a desabar pedreiras todos os dias... Não será altura dos chefes começarem a defenderem a sua liberdade, num espírito de bom senso pragmático e de prudente liberdade? Morreram algumas dezenas de pessoas nas pedreiras ao longo das décadas. Mas morrem todos os annos 17 mil bébés, abortados na barriga da sua mãe. Onde está a prioridade, e qual é a legitimidade de Lisboa para chatear a cabeça aos calipolenses?
Quanto à UNESCO, e à candidatura de Villa Viçosa a património mundial, é precoce. O concelho ainda não está pronto, enquanto as montanhas de pedregulhos estiverem a poluir a paisagem. Já basta ter esburacado o campo todo. Não há maneira de usar esta pedra noutras indústrias, ou de lançá-la ao mar, para engalanar a nossa terra?
Viva el Rey!
Noutros tempos, fallava-se do "Príncipe", mesmo quando a referência era a Repúblicas, como era a de Veneza, e fazendo um pequeno "clin d'oeil" ao Casanova. A palavra dá uma ideia da majestade da funcção, que convem sempre respeitar e temer.
Precisamos, em Villa Viçosa, dum príncipe paternal e maroto. Corajoso. Cabrão, no bom sentido, isto é que seja capaz de usar modos um pouco "para-legaes" para defender o bem, guardar o rebanho unido e corrigir os tortos. O Príncipe tem poderes que nós não temos... Pode lançar uma inspecção aos negócios do concelho... Pode acceder facilmente aos meios de imprensa locaes... Pode expropriar casas e negócios... Pode cortar subsídios e alojamento camarário a quem não percebe... E as burocracias são sempre tão lentas... Pode lançar referendos locaes, que provoquem debatte... A derrama pode ter infelizmente que aumentar... E depois almoça regularmente com o delegado do Ministério Público.
Tem que se repensar as vaccinas: porque não uma inspecção nos... veterinários?
Tem que se repensar o aborto e a contracepção: as pharmácias têem a papelada em dia?
Tem que se defender o ethno-Estado: será que os patos-bravos que andam a importar forasteiros pagam tudo à Segurança Social?
Tem que se acabar com as violências psychiatricas: será que não é cedo de mais para fazer a nova esquadra da Guarda?
Tem que se desencorajar os divórcios: será que não há uma longa fila de espera nos bairros sociaes?
Lisboa tem que baixar os impostos: será que o edifício das Finanças não dava um bom centro de dia para os velhotes?
O PC tem que se corrigir: não dá para encontrar um rattinho na cozinha do Café Central?
O Regedor da Juncta pode lançar uma moção de censura na Assembleia Municipal: não era altura de fazê-lo?
Os patos-bravos andam a privatizar caminhos públicos: não é possível nacionalizar os terrenos dum latifundiário, ou a pedreira dum magnata?...
Que o Príncipe Esperança nos dê esperança! Ia haver lucta, cada um ia chamar os seus alliados, e dahi? Se o Camarilo arranja problemas judiciaes sempre pode contactar o advogado do Sócrates. Il aurait le temps de voir venir.
Em Bencatel e na Villa é preciso antes de mais diálogo, persuasão, discussão, philosophia e oração. Para dar coragem ao povo e reconstruir-lhe as suas barreiras moraes e intellectuaes. Depois é preciso trabalhar, luctar, com jogo de cintura. As violências são comprehensíveis, mas à partida de evitar. O mais importante é o espírito de resistência e reconquista, trabalhar, luctar dentro do systema. Uma boa mobilização já era fantástica.
Faisons-nous des petits coups de pute, et que le meilleur ganhe.