L'esclavage des nègres ça ne devrait pas trop faire fliper les blancs. C'est leur problème dans le fond. Et mème pas, en réalité, parce que c'est terminé depuis longtemps.
Ceux qui insistent sur ce thème sont généralement des tarés racistes qui veulent détruire les blancs par l'immigration, la négrification et la criminalité-racisme qu'elle amène, et par l'esclavage fiscal du socialisme qui exploite, sur le long terme qui est notre court-terme, les travailleurs-entrepreneurs blancs au profit des malins et parasites racisés. C'est de cet esclavage-lá dont ils devraient se préoccuper, les blancs, dans le fond. Le problème, si on veut aller au fond de la question, c'est la colonisation du vagin des blanches (joke).
Entre les blancs et les nègres il faut qu'il y ait la distance de l´apartheid et de la ségrégation. Et s'ils se mélangent, il est prudent que le blanc ait le pouvoir, pour se protéger. Car le nègre, par sa force physique et démographique, par son racisme et par sa permanente révolte victimaire, est dangereux. Il n'y a rien de mal à l'inégalité: une situation oú le nègre a moins de liberté et de droits que le blanc. En tout cas en Europe, LA TERRE DU BLANC. La liberté du nègre (et des hérésies juives, protestantes et islamiques, au passage), va contre la liberté du blanc. Le premier les utilise pour s'organiser, revendiquer, menacer et parasiter.
Si le nègre veut commander, qu'il retourne chez lui, en Afrique. En Europe, ce n'est qu'un colon fatigant et menaçant. Il est temps pour les blancs de commencer à penser à faire un grand nettoyage ethnique, avec autant de violence que nécessaire. S'il faut massacre, afamer et génocider, qu'on le fasse. Un pays, ce n'est pas un lupanar ou un aéroport: c'est la maison d'un peuple. Or chez soi, on met des critères à ceux qu'on laisse entrer. Sinon ils cassent le mobilier.
Sem comentários:
Enviar um comentário