Pode-se dizer que a democracia funcciona. Pelo menos quando os democratas deixam o povo participar na política!...
Pode-se dizer que a democracia funcciona. Pelo menos quando os democratas deixam o povo participar na política!...
É um facto que Salazar era mais suave que Hitler. E talvez por isso mesmo o seu regime durou mais, e Portugal escapou à destruição que a Allemanha soffreu. Salazar era um funccionário público equilibrado, enquanto que Hitler era um hypnotizador soffrido, um soldado trahido e derrotado da Primeira Guerra Mundial. Hitler combattia as forças gigantescas e genocidárias que o seu povo enfrentava, e como homem puro e digno que era, não podia deixar de sentir isso com intensidade.
Quer seja a ameaça communista interna ou soviética, as manigâncias dos anglo-saxões ou dos judeus, a corrosão dos costumes sexuaes do entre-guerra, tudo isso representava um perigo enorme. Era natural que surgisse um Hitler, e essa tomada de poder tinha que ser feita com a brutalidade da democracia fascista. Hitler não teve a sorte, como o Salazar, de ver o exército fazer um golpe de Estado a partir das alturas para endireitar a nação. Seria difícil, para qualquer um, ter feito melhor que o Füehrer.
É comprehensível que haja hostilidade contra o Terceiro Reich. Para muitas pessoas tranquillas e parochiaes elle representa o barulho e a violência industrial. Mas é necessário fazer o esforço intellectual de estudá-lo, e de passar além do discurso simplório ou deshonesto que o caracteriza como o mal supremo. É preciso estudar os apologistas do seu regime, e perceber as circunstâncias do homem e do seu paiz. É preciso soffrer para entender como reage uma alma nas mesmas circunstâncias. Com o tempo, sente-se a grandeza do homem.
A verdade é que a Europa está de novo a viver a sua hora mais negra e perigosa. Vão ser precisos homens puros, corajosos, intelligentes, gigantes: ou seja, dictadores democráticos. É fundamental ser capaz de se assumir como nazi, se não queremos que outros nazis mactem as nossas creanças. O que passa por ahi por anti-nazis são uns racistas monstruosos, e o facto de estarmos paralisados com medo de sermos tractados de nazis, de fascistas e de racistas destroe-nos, fazendo-nos assumir um sentimento de culpa exaggerado que enfraquece as nossas defesas moraes. O racismo protege do racismo, e só elle o faz.
C' est plus tard que l'on comprend.
Os lisboetas estão a preparar um referendo de iniciativa popular sobre eventuaes restrições ao turismo. É algo certamente interessante.
Em Bencatel, a terra mais à esquerda de Portugal, também se podia fazer um referendo popular: o REFERENDO SALAZAR. A pergunta seria a seguinte:
Deve Bencatel fazer uma estátua em honra de Salazar na Praça da República?
Avante Camaradas!
Le Parlement qui est sorti des législatives françaises de 2024 a étonné et déçu beaucoup de monde. Pourtant, il va falloir s'y faire, et peut-être que les gens vont finir par s'en accommoder. C'est qu'il n'est pas forcément mauvais, bien au contraire.
Le Rassemblement National:
Franchement, ce parti est une blague. Une clique d'homossexuels, de femmes insoumises (vous voulez combattre le grand nombre des africains mais vous n'obligez pas vos femmes à vous donner des enfants, beaucoup?... l'avortement comme priorité quazi-religieuse, va comprendre!). Il suffit de voir Marine, une vieille, en mini-jupe et en talons hauts pour se sentir repoussé par le Frontounet. Un parti dont l'élite édulcore systématiquement son discours, et qui éloigne tous les militants intègres et radicaux de toujours. Un parti qui est devenu lâche. Un parti de système qui n'a pas les burnes de marcher sur le parlement, de bloquer les rond-points (allô Gilets-Jaunes?), de lancer des pétards contre la police, de mettre les tentes au Champ-de-Mars, d'occuper la Place de la Nation, de casser la gueule aux anti-fas. Un parti dont les chefs ont peur de passer six mois ou un an en prison. Et ils veulent manger dans la gamelle du pouvoir, retors, qui trouvera toutes les combines pour les en éloigner? Ils ne le méritent pas. Pas encore, du moins. Oú a-t-on vu des français qui ne font pas la révolution? C'est quoi ça, un parti de gonzesses, et des pas bonnes? En un sens, ils ne se sont pas encore battus. S'ils veulent casser le frontounet républicain, ou en faire partie, ils vont devoir changer d'attitude et gagner la foi. Qu'ils fassent comme les talibans: prier, se battre, prier, se battre, etc...
Et puis ils ne peuvent pas commencer par Matignon, non? Il leur faut deux ou trois ministères, histoire d'acquérir de l'expérience. O boccado está reservado para quem o há de comer, comme on dit au Portugal. Il y a certes de la valeur campagnarde chez leur base, ce sont les souchiens, mais il y a d'autres sociologies en France. Leur boulot c'est pas de gouverner, mais de redresser et endurcir le centre.
Le Centre justement:
Certes on se demande si entre un premier-ministre qui se fait entuber par son petit mari et un président qui se fait sodomiser par sa vieille il y a quelque chose à sauver. Tous des castors jouant la comédie ripoublicaine contre le Rassemblement, par dessus bord.
Ceci dit la France a besoin d'un vrai centre, viril. Un “grand frère” un peu trumpien. Quelqu'un qui à défaut d'avoir des idées sophistiquées aie des bons insctincts. Un franchouillet un peu rond, rabelaisiens, gargantuesque, paternel. Quelqu'un qui fasse la liaison entre l'enracinement de la campagne, et le flux des villes. Un arbitre entre les souchiens et les immigrants. Bien que donnant la préférence aux premiers. Bref, Jean-Marie, mûri, en fin de vie!
La Gauche:
Ça fout un peu les chocottes ces beuglards, ces folles, ces voleurs, ces nègres et ces djihadistes. Ils sont très intenses, très sautillants, gourmands. Très africains, quoi! Mais ça a de la gueule, une certaine sincérité qui oblige les tièdes à se désembourgeoiser. C'est la démocratie, ils ont une bouche donc il faut qu'ils mangent. Ils ne devraient pas être aussi colons et aussi racistes, mais il est inévitable qu'ils aient leur mot à dire. Ce ne sont pas des français, dans le sens ethnique du mot, mais ce sont, paradoxalement, des gaulois, dans le sens géographique et citoyen du terme.
C'est la guerre même, avec tout ce qu'elle a de beau. Et ça sera encore meilleur quand à gauche le caliphat afro-islamique aura dégommé les pétasses féministes et les renégats islamophiles du genre de Mélenchon. Au moins tout le monde saura à quoi s'en tenir, et les illusions de l'égalitarisme, de la lahicité et de la neutralité religieuse, l'intégrationnisme et l'assimilationisme, s'évanouiront.
Certes, il va falloir les combattre, être réac, leur rentrer dans le lard. Mais pour ça le souchien va devoir sortir de la zone de confort. Faire la Croisade, renouer avec l'amour de son propre sang. Être moins lisse, sortir dans la rue, pousser le pays vers un petit climat de guerre civile et forcer Jean-Marie à leur mettre une fessée! Vous voulez vous battre on va se battre! La liberté et la vie ne sont pas des droits, elles se méritent par le courage et l'intégrité. Il faut du courage physique et du courage moral de s'assumer comme nazi.
Il y a quinze millions d'africains, et cinquante millions de blancs. C'est jouable, non? Quantos são, quantos são? La criminalité? Avant de casser du bougnoule, il va falloir renverser les franc-macs, les faibles et les complices de l'islamo-racaille présents dans la magistrature, la police et la politique locale. En Russie il y a beaucoup de musulmans, mais ils font moins les cons. Pourquoi?
Conclusion:
Tout va très bien. Que les Français cessent d'être mous, voire lâches, qu'ils se corrigent et qu'ils fassent des enfants. Qu'ils cessent d'être des cocus dégoutants permissifs avec leurs vilaines femmes. Pour l'instant, ils peuvent se sauver en se redressant moralement.
Sinceramente, os tempos que se vivem actualmente são bonitos. São tempos de guerra, de tomar decisões, de tomar partido, de dar a cara. Já não dá para ser morno, porque estamos a morrer e a correr grandes riscos. Todos os perigos se concentram no mesmo momento.
Durante tanto tempo os povos brancos não se oppuseram à destruição. Não castigaram os cobardes e os indignos. Foram burros e acceitaram o discurso dominante que a televisão vomitava. As bases e as elites – ambas – fizeram mil traições que as levaram ao suicídio. Ignoraram e perseguiram os heroes, que os houve. Ainda não estavam preparadas intellectualmente e moralmente para luctar.
Agora vae haver combatte. Uns cahirão, outros triumpharão. Mas seremos todos obrigados a ser sinceros e puros. Salvaremos as nossas almas.
Viva a Guerra!
A estrada que liga Villa Viçosa a Borba ruiu há alguns annos. Não seria tempo de reconstruí-la? O Partido Popular Monárchico, que está na coligação de governo, não faz força para aquillo que se chama a Estrada Real? Se ella volta a erguer-se, será um dia muito symbólico.
Quando a derrocada aconteceu, Lisboa cahiu em cyma das auctoridades locaes. Abafaram tudo com inspecções e burocracias, estragaram os únicos negócios locaes. E toda a gente ficou com o rabo às bufas. Até parece que iam começar a desabar pedreiras todos os dias... Não será altura dos chefes começarem a defenderem a sua liberdade, num espírito de bom senso pragmático e de prudente liberdade? Morreram algumas dezenas de pessoas nas pedreiras ao longo das décadas. Mas morrem todos os annos 17 mil bébés, abortados na barriga da sua mãe. Onde está a prioridade, e qual é a legitimidade de Lisboa para chatear a cabeça aos calipolenses?
Quanto à UNESCO, e à candidatura de Villa Viçosa a património mundial, é precoce. O concelho ainda não está pronto, enquanto as montanhas de pedregulhos estiverem a poluir a paisagem. Já basta ter esburacado o campo todo. Não há maneira de usar esta pedra noutras indústrias, ou de lançá-la ao mar, para engalanar a nossa terra?
Viva el Rey!
Noutros tempos, fallava-se do "Príncipe", mesmo quando a referência era a Repúblicas, como era a de Veneza, e fazendo um pequeno "clin d'oeil" ao Casanova. A palavra dá uma ideia da majestade da funcção, que convem sempre respeitar e temer.
Precisamos, em Villa Viçosa, dum príncipe paternal e maroto. Corajoso. Cabrão, no bom sentido, isto é que seja capaz de usar modos um pouco "para-legaes" para defender o bem, guardar o rebanho unido e corrigir os tortos. O Príncipe tem poderes que nós não temos... Pode lançar uma inspecção aos negócios do concelho... Pode acceder facilmente aos meios de imprensa locaes... Pode expropriar casas e negócios... Pode cortar subsídios e alojamento camarário a quem não percebe... E as burocracias são sempre tão lentas... Pode lançar referendos locaes, que provoquem debatte... A derrama pode ter infelizmente que aumentar... E depois almoça regularmente com o delegado do Ministério Público.
Tem que se repensar as vaccinas: porque não uma inspecção nos... veterinários?
Tem que se repensar o aborto e a contracepção: as pharmácias têem a papelada em dia?
Tem que se defender o ethno-Estado: será que os patos-bravos que andam a importar forasteiros pagam tudo à Segurança Social?
Tem que se acabar com as violências psychiatricas: será que não é cedo de mais para fazer a nova esquadra da Guarda?
Tem que se desencorajar os divórcios: será que não há uma longa fila de espera nos bairros sociaes?
Lisboa tem que baixar os impostos: será que o edifício das Finanças não dava um bom centro de dia para os velhotes?
O PC tem que se corrigir: não dá para encontrar um rattinho na cozinha do Café Central?
O Regedor da Juncta pode lançar uma moção de censura na Assembleia Municipal: não era altura de fazê-lo?
Os patos-bravos andam a privatizar caminhos públicos: não é possível nacionalizar os terrenos dum latifundiário, ou a pedreira dum magnata?...
Que o Príncipe Esperança nos dê esperança! Ia haver lucta, cada um ia chamar os seus alliados, e dahi? Se o Camarilo arranja problemas judiciaes sempre pode contactar o advogado do Sócrates. Il aurait le temps de voir venir.
Em Bencatel e na Villa é preciso antes de mais diálogo, persuasão, discussão, philosophia e oração. Para dar coragem ao povo e reconstruir-lhe as suas barreiras moraes e intellectuaes. Depois é preciso trabalhar, luctar, com jogo de cintura. As violências são comprehensíveis, mas à partida de evitar. O mais importante é o espírito de resistência e reconquista, trabalhar, luctar dentro do systema. Uma boa mobilização já era fantástica.
Faisons-nous des petits coups de pute, et que le meilleur ganhe.
Tinha dicto que iria interpelar o STJ, quanto ao caso do Caritas. Por enquanto não o fiz. Decidi voltar a contactar a Relação, para ter o seu relatório de autópsia e o processo da sua morte. Segue-se o email que mandei:
Exmo Sr Official de Justiça Rui Rodrigues
Accuso recepção da sua resposta, que agradeço. Mas tomo a liberdade de voltar a interpelar a Relação, pelos motivos que vou expôr.
O cerne da resposta que recebi consistia em dizer que a Relação só pode tomar decisões para casos que lhe appareçam no “colo” em recurso. Tudo bem! Mas é precisamente isso que eu estava a fazer: recorrer duma resposta que recebi do Tribunal de Redondo. Vou aliáz, mandar-lhe em annexo uma cópia do ficheiro email-PDF que recebi desse tribunal. Posso eventualmente admitir que há outras maneiras de recorrer (mas baseadas em que imperativo legal?). Por exemplo, pode-se considerar que devia ter pedido ao próprio Tribunal de Redondo para se encarregar do meu recurso para a Relação. Será isso realmente relevante?
No entanto, esta situação levanta outra questão: já interpelei duas vezes o Tribunal de Redondo. A primeira como já referi, tendo recebido a resposta que vos annexo, e a segunda para perguntar se me podiam dar uma resposta dactilographada. De facto, como podereis constatar – ficheiro annexo – a resposta é ilegível. É um gatafunho manuscripto, uma resposta um pouco indigna dum tribunal na verdade, em que só dificilmente se percebe que o pedido foi indeferido. De resto, Redondo não respondeu a esta segunda interpelação, e tinha portanto razões de acreditar que não responderia também se tivesse passado por elle para recorrer para a Relação. E portanto tinha que me queixar mais acyma, directamente, como fiz.
Além disso, como há uma simples rúbrica, não se percebe quem tomou a decisão, se o Juiz, ou o Procurador, nem o seu nome. Não há portanto maneira de saber bem para quem tinha que recorrer: os juizes da Relação, ou as instâncias “provinciaes” do Ministério Público. Mas em princípio, não passará qualquer processo primeiro por um procurador, que “suggere”, e depois por um juiz, que decide? Se assim fôr, se o juiz decidiu e desfavoravelmente, tinha toda a legitimidade constitucional para recorrer para a Relação.
Volto, portanto, a insistir. Que o Tribunal de Redondo, não só o seu procurador, mas o seu juiz, me dê uma resposta legível e assinada. E caso ella seja negativa, que seja acceite o meu recurso para a Relação. Pelas suas próprias palavras, Sr Rodrigues, os tribunaes inferiores, apesar da sua autonomia, têem obrigação de se sujeitar a decisões superiores.
Fico à espera da resposta que me podereis dar. Se não fôr satisfatória e apaziguadora, considerar-me-ei na necessidade de interpelar o Supremo Tribunal de Justiça. E despeço-me cordialmente.
Pedro Velhinho
Caro Leitor
Tenho andado a luctar e a investigar a morte do Guarda Caritas. O último passo que tomei foi recorrer para a Relação de Évora para ter accesso ao processo da sua morte, assim como ao relatório de autópsia. Infelizmente, mas como era de esperar, recebi uma resposta negativa, e um pouco deshonesta, que reproduzo mais abaixo. De resto, tinha interpellado e avisado dois jornalista e um político do Ergue-te, mas não recebi resposta.
Vou continuar a fazer força. Próximamente, interpelarei o Supremo Tribunal de Justiça.
Resposta:
TRIBUNAL DA RELAÇÃO DE ÉVORA
Secção Central
Acusamos a receção do vosso e-mail.
Temos a honra de informar V.Ex.ª, que o vosso e-mail foi visto e analisado superiormente, tendo sido indicado/determinado para transmitir o seguinte:-
“Informa-se que a situação exposta mereceu a nossa maior atenção.
No entanto, o Tribunal da Relação de Évora apenas tem competência para administrar Justiça relativamente a processos que se encontrem neste Tribunal na fase de recurso.
Não existe qualquer hierarquia funcional e organizativa entre o Tribunal da Relação de Évora e o Juízo Local de Competência Genérica do Redondo, não havendo a possibilidade de ser dada ordem para que a informação em causa seja disponibilizada nos termos pretendidos. Na realidade, os juízes julgam apenas segundo a Constituição e a lei e não estão sujeitos a quaisquer ordens ou instruções, salvo o dever de acatamento das decisões proferidas em via de recurso por tribunais superiores, o que não é o caso relatado.
Acresce que, da leitura do requerimento parece resultar que o eventual processo se encontra em fase de inquérito, que tem como objetivo investigar a existência de facto qualificado pela lei como crime.
Esta fase é dirigida pelo Ministério Público, entidade que goza de autonomia, o que significa que os seus magistrados apenas estão sujeitos às diretivas, ordens e instruções previstas no Estatuto do Ministério Público.
Assim, o Ministério Público não se encontra sujeito a qualquer tipo de determinação do tipo daquela que é pretendida na referida exposição e que possa ser impulsionada pelos serviços da presidência do Tribunal da Relação de Évora.
Consequentemente, a pretensão do Requerente não pode ser satisfeita por este Tribunal.”
Com os melhores cumprimentos.
Palácio Barahona, Rua da República 141 a 143, 7004-501 Évora Portugal | RUI RODRIGUES Oficial de Justiça
T. +(351)266 758 800 E-mail. rui.m.rodrigues@tribunais.org.
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Não é possível ver os corações, mas talvez o Joe Biden, apesar da perversidade das suas políticas, seja mais sincero e digno que o Donald Trump. Este último fez um pouco de nacional-socialismo no seu primeiro mandato, e o lobby judeu fez lhe maioritáriamente guerra. Agora o Trump decidiu-se submetter-lhe e deixar-se comprar para arranjar apoios para as mais recentes eleiçóes: é um judeo-nazi. Vae-se comportar de forma suja com os árabes, e não conseguirá pôr fim ao militarismo da América..
O Biden se calhar já não sabe bem o que faz. Não se pode levar a mal, está senil. Tem que se demittir? Sim. Mas só se o Trump o fizer também.
À direita, precisamos do Pat Buchanan e do Paul Craig Roberts. Ron Paul na Fed. E à esquerda, do Kennedy. Homens brancos, heterossexuaes, algo christãos.
Na Juncta de Freguezia de Bencatel, governa o Partido Communista Portuguez, alliado ao MUC. Na opposição, está o Partido Socialista. É assim desde o 25 de Abril.
A situação é um pouco bizarra, original e incommum. Não há direita. Os socialistas fazem figura de “reaccionários”. Talvez esta divisão se deva ainda ao período do 25 de Abril, em que os communistas andaram agitados pela aldeia, a occupar terras. Os socialistas são mais tolerantes do capitalismo e da propriedade privada do que os communistas. Se bem que o próprio regedor, o Cardoso, seja um pequeno empresário e patrão. Por outro lado, os communistas talvez tenham uma relação mais tranquilla com a Rússia, o que é bom já agora, e sejam mais conservadores em termos de costumes. Mas enfim, a sua posição é no máximo de defesa, não de contra-attaque. Na práctica, os dois partidos defendem mais ou menos a mesma política. Se surgir uma direita, ou Yahvé nos livre, um fascista reaccionário, alliar-se-ão provávelmente de medo de acabar no Tarrafal.
Se virmos agora as últimas eleições europeias de 2024, o resultado é o seguinte:
Partido Socialista: 42%
Partido Communista Portuguez: 22%
Partido Social-Democrata: 15%
Chega: 7%
Iniciativa Liberal: 5%
Ou seja, a Esquerda, nesta eleição de forma proporcional, teve mais de sessenta por cento dos votos. Mesmo assim, os trez partidos de direita tiveram quaze trinta por cento do voto o que é um resultado muito razoável. E também note-se que o PC tem menos força do que parece: a juncta está em perigo.
Como interpretar estes resultados?
O bom lado: os bencatelenses são generosos e não se importam de financiar o Estado-Social. Gostam da Europa, e não querem que a Ucrânia collapse. Apesar de haver, nesta aldeia que chamam Nova Moscovo, quem goste da Rússia. E querem que as mulheres sejam bem tractadas, o que suppostamente os perigosos machistas de direita não fazem. Também, não gostam de patrões cabrões que exploram os trabalhadores.
Também se pode ver a coisa do lado mau: são ladrões e querem que o Estado roube os trabalhadores e patrões para lhes dar salários de funccionários públicos e pensões de reforma. Aprovam todas as perversidades sexuaes e familiares da modernidade, promovidas pela esquerda. E não se importam de ver os seus filhos serem destruidos pela immigração infinita que vem a caminho. São uns revoltados que não acceitam a legitimidade dos seus patrões e que os vão lixar à primeira occasião. Deixam-se intimidar, deixam de reflectir com tranquillidade, quando houvem fallar da “dictadura”, quer seja de Salazar ou de Putin. E têem a arrogância dos abrilistas que acham que tinham legitimidade para pegar em armas contra o Estado Novo, para continuar a cuspir-lhe em cyma 50 annos depois, sem nunca assumirem que commeteram crimes, e offuscando-se muito contra qualquer reaccionário que use dos mesmos méthodos violentos de que são adeptos (basta lembrar que o 25-Alá-u-Akbar foi um golpe de Estado militar).
Duas notas. A primeira sob as más línguas de Bencatel. Ao longo dos annos assistiu-se a pessoas que sahiam da terra porque se sentiam opprimidas pelos cancans que se fazem sobre as pessoas e sobre os julgamentos sumários, às vezes sem moderação, que isso implica. Há quem diga que as pessoas são “racistas” no sentido que não acceitam nenhuma diferença. Na política local é um facto que não há pluralismo. É também de certa forma o que os protege contra os forasteiros. Mas o “anti-fascismo” de Bencatel é uma treta. Há mais reaccionários e amigos do Salazar do que se pensa (eu sei, fallam commigo!), só que não se assumem de medo da aggressividade e do fascismo dos... anti-fascistas. Estes últimos, quando apparecerem duzentos pretos na aldeia, vão fazer como toda a gente: vão votar fascista. O seu anti-racismo é um luxo hypocrita ou tonto que só é permissível porque vivem numa aldeia racialmente pura. E depois, francamente, o racismo é um phenómeno biológico inevitável. O ser humano é macaco e quando vê outro bando que não o seu começa a gritar e a saltar: tem que fazê-lo para se proteger. Pode ser um crime, mas não é mais grave que tantos outros. É certamente menos grave ser racista contra o Outro, do que traidor com os Nossos.
Sobre o racismo e o racismo do anti-racismo, lembro-me duma discussão que tive um dia com o Quim Zé. Elle acha muito mau o Chega, que no fundo o protege, por causa da questão da immigração. Suggeri-lhe que fosse viver para a Guiné, para abrir os olhos. Respondeu-me que “não é povo que me interesse muito”. Tradução: o Quim Zé não se importa que os lisboetas levem com pretos. Nem se importa de ouvir o Carlão na Festa do Avante. Mas ir fazer uma pequena experiência colonial, na terra delles, onde elles mandam, isso não... Pode-se levar a sério essa mentalidade?
A segunda ideia é que não há mal nenhum em ser de Esquerda. Mas só pontualmente. Às vezes pode-se e deve-se tomar partido pelos trabalhadores, pelas mulheres, pelos pobres e pelos forasteiros. O que é errado é ser systemáticamente contra o heteropatriarchado branco, christão e capitalista, sobretudo quando por natureza se faz parte delle. O esquerdismo pode ser uma forma de anarchismo inimigo de qualquer auctoridade. E qualquer pessoa que não seja idiota e corrupta vê que é algo suicidário e traiçoeiro que vae ter como consequência o genocídio afro-islâmico. É preciso defender a ordem natural, viril e branca. Dar mais importância à liberdade do que à egualdade.
Há uma boa dose de burrice e de cobardia em Bencatel. Pensam mesmo que vão escapar aos perigos no seu cantinho, e que não vão precisar de tomar partido! Ficaram tão traumatizados com a falta de sardinhas no tempo do Salazar que apanharam uma noia. E desde ahi as suas mulheres limpam a calçada todos os dias, talvez para expiar os seus peccados. Just Joking, mas a brincar a brincar dizem-se as verdades.
Agora, uma constatação, nascida de experiência própria: esta Juncta de Bencatel, e o Presidente-Regedor Cardoso, são corruptos e mesquinhos. Não necessáriamente uma corrupção financeira (apesar de dar jeito receber o salário de presidente estando ausente a maior parte do dia). Antes, uma corrupção moral.
O regedor é cúmplice sabido e consciente dos envenenamentos e perseguições psychiátricas que eu, o Galhofas e outros soffremos por motivos políticos, há mais de dez annos. É cobarde quanto à questão vital da guerra russa, não mobilizando o povo, num sentido ou noutro (e já foi interpellado nesse sentido). Assume-se como communista, quando hoje em dia qualquer pessoa com um pouco de cultura sabe que essa ideologia de ladrões fez dezenas de milhões de mortes e defende roubar tudo, absolutamente todos os factores de produção – a favor do Estado. Ou seja, lá está, quer pôr em commum o que é dos outros. Na práctica não o fará, mas symbolicamente sim, porque ainda não tentou provocar o aggiornamento do PC. Fecha a juncta ao povo inteiro, porque a “perigosa fera” Pedro Hitlerinho anda à solta nas ruas. Faz provavelmente boicotes – a mim – no Grémio à assembleia do qual preside, e talvez na “Cosa Nostra”.
Ou seja, são todos muito democratas é tolerantes até ao dia em que apparece alguém que lhes explica que a democracia não é o único valor, nem o mais importante. Coligam-se com ecologistas, mas permitiram a porcaria dos painéis solares na freguezia, hectares, sem consulta popular. Não gosta da burguezia, mas deixa-a privatizar todos os caminhos do concelho (qualquer dia é preciso pagar portagem para ir à Villa). E no fundo para mamar uns subsídios associativos – o que toda a gente gosta – é preciso ir na lenga-lenga dos partidos representados na assembleia. Também, em vez de deportar povos inteiros como o Staline, trabalha para importá-los aos milhôes, porque não faz guerra à sede lisboeta do partido, que ainda há dias estava a promover trabalho para uma brutalidade de funccionários na AIMA (nem o systema de saúde defendem assim...). Também, é de duvidar que quem está à volta do PC de Bencatel seja muito íntegro e corajoso. Ser communista em Bencatel não é o mesmo que sê-lo no tempo do Franco. Aqui são elles que têem o poder, e que distribuem os tachos.
Ou seja, o PC está onde tantas vezes esteve: do lado da traição. Jà não têem a força que tiveram noutros tempos, e num sentido não valle a pena batter no ceguinho. Mas enfim, é o que é. Cinquenta annos depois do Cunhal, e cem annos depois do Lenine, ainda não foram capazes de repensar os seus princípios duma certa ideia de “demo-kratos”.
É uma “democracia” sui-generis: uma minoria que assumiu poderes maioritários. Talvez mesmo, uma maioria de minorias! Um governo de democratas que têem medo de ideias e partidos concorrentes. São mais ideólogos do que democratas no fundo.
No fundo, o que Bencatel precisa é de outra democracia. É preciso gente com pachorra para partir pedra, inserir-se nas associações da freguezia com ideias próprias e independentes, e fazer uma modesta listinha às próximas eleições autárchicas. Não é para ganhar, é só para ter um ou dois assentos na assembleia. Para vigiá-los. Para fazer umas suggestões. Desanuviar a atmosphera. Mudar de cabrões. Polarizar a coisa numa primeira phase, sabendo bem que no final vae nascer uma synthese esquerda-direita, que não é nada mais do que o fascismo. A solidariedade mais do que o socialismo.
Senão fôr assim o que pensar? Que é preciso um motim na aldeia?!
PENICHE SEMPRE!
La France, qui souffre beaucoup et depuis longtemps de l'immigration, a commencé à donner de la force aux politiciens qui prétendent la combattre. Le discours nationaliste commence à se faire entendre.
Simultanément, la France a une fiscalite écrasante qui soutient un État-Social gigantesque. On chemine peut-être, lentement, vers le nacional-socialisme, donc.
Or, comme l'a expliqué Hans-Hermann Hoppe dans son livre “Democracy: The God That Failed”, le nacional-socialisme est un peu une contradiction dans les termes. Le socialisme, en donnant un “droit” - financé par l'esclavage de l'impôt – à ce qu'on s'occupe de nous em cas de difficultés, favorise toute sorte d'imprudences et d'irresponsabilité. Il promeut la décadence. Et en plus, il est une véritable pompe à envahisseurs-migrants, les ennemis de la Nation.
Si la France veut survivre il faut qu'elle apprenne à donner de l'importance à ce qu'il y a de bon dans le libéralisme. Notamment son opposition à l'impôt et à l'intégration forcée qui va contre le droit de propriété et son conjoint, la discrimination contre ceux qui n'appartiennent pas à la “tribu” ou qui démontrent des comportements inacceptables et imprudents.
Au vu du résultat des élections législatives de 2024, il est parfaitement possible de faire un gouvernement du centre à la droite! Le Rassemblement National, les Républicains, et le camp présidentiel. Personne n'a dit que le Frontounet National doit gouverner tout seul: il ne le mérite pas.
Pour cela il faudrait que les militants de ces partis dégagent les faibles et les traîtres comme Marine et Jordan, et mettent à la tête un vrai guerrier. Quel serait la première mesure qu'il prendrait?... Marcher avec tous ses appuis sur le Parlement, afin d'être inclus dans le prochain gouvernement, avec le contrôle des ministères régaliens. D'ailleurs cette grande manifestation se justifie de plus en plus étant donné que la gauche elle aussi se prépare à marcher sur le pouvoir.
À Bas la "République"!
Vive la Sainte République!
Certains, en France, se sont arrogés le titre de “républicains”. Ils parlent beaucoup, et avec une signification spéciale dont ils n'oseraient pas franchement définir les contours, de la “République” (majuscule, s'il vous plaît). Dans leurs bouche, la “République” signifie l'assassinat et le déthronement du roi, les attaques contre l'Eglise et les curés, le fait de promouvoir l'immigration et le métissage avec la conséquence de la destruction de la race blanche, l'avortement par millions ainsi que des perversités comme l'homossexualité sous toutes ses formes et les mutilations sexuelles, l'odieux féminisme, renier tout ce que de bon firent Pétain et Hitler notamment la manifestation de certaines valeurs conservatrices, se soumettre à l'Amérique et à l'OTAN, le refus de résister à l'islamisation, les privilèges liberticides donnés aux juifs et à leurs idées et politiques dont la lahicité anti-chrétienne, l'infiltration et la corruption de toutes les institutions par des forces occultes inavouables dont la conséquence ultime est le viol et le meurtre de bébés.
Ces “Républicains” prétendent représenter le peuple et la démocratie, mais ils ne le chantent que quand il suit les politiques précédentes. Quand un fort contingent d'élécteurs se distancie de ces pratiques, on fait face à la Bête Immonde et il faut former un Front Républicain pour le contrecarrer. La démocratie des minorités non et anti-françaises est légitime, mais la démocratie de la majorité blanche, chrétienne, hétérossexuelle, qui contient, casse et soumet les envahisseurs et les pervers n'est pas acceptable. Et ce discours vient de politiciens et de parleurs qui en grande partie, par leurs ancêtres, appartiennent à cette majorité “méchante”.
Le Maréchal Pétain, qui en avait vu d'autres, appelait son régime l'État Français, et non la République. Il faut construire la “Sainte République”, car leur “République” est une catin. Lorsqu'ils ont coupé la tête au Roi, ils voulaient surtout faire tomber la Croix qu'il soutenait.
Vive le Roy!
Vive la Sainte République!
Vive la France!
De Gaulle n'avait pas envie d'être dominé par les allemands. Personne ne le lui reprochera. Mais il aurait dû être plus intelligent, et comprendre qu'il ne fallait pas se soumettre aux anglo-saxons, qui lui ont donné le pouvoir, pendant la Seconde Guerre Mondial et après la crise d'Algérie. Les crises qui se sont suivies, en France, sont dûes en grande partie à cette dépendance. Et cela allait contre l'envie du Général de faire le pont entre l'Amérique et l'Union Soviétique.
Le Maréchal Pétain, dans le fond, était plus sain. Il a compris que après s'être battu et avoir perdu contre les allemands, il n'était pas honteux de s'y soumettre. Même si, bien sûr, il fallait résister “dans le système”. Plus dans un esprit de rivalité que d'ennimité, car il était nécessaire de créer le couple franco-allemand, le coeur de l'Europe. Qu'on a de toute façon fait plus tard, pacifiquement, par l'Union Européenne.
Le Maréchal avait encore raison en un autre point: la question des moeurs, de l'humilité envers Dieu. Il avait compris que la France payait de son indépendance son manque de foi, ses pêchés, une trop grande libéralité de moeurs, son excessive soumission aux juifs et à leur puissance de discours anti-national. Bref, la France était un peu trop Moulin Rouge...
Il y a de cela quelques décennies, un débat avait eu lieu sur la télévision française, où un défenseur de la collaboration avait expliqué – et c'était fait gronder... - que les français auraient tôt ou tard adouci les allemands, s'ils étaient resté en France. Dans le fond une synthèse serait née.
Cette synthèse, Louis-Ferdinand Céline l'a nommée... c'est tout simplement la Suisse, cette confédération de romands et de boches! Les français et les allemands qui se travaillent, et qui s'aiment suffisament pour faire une nation ensemble. Par exemple, les suisse-allemands sont plus durs en matière raciale et immigrationiste, ce qui est nécessaire. Et peut-être que les romands ont été moins cons et nazis que les suisses-allemands pendant l'épisode odieusement liberticide du covid, car ils savent que les lois des hommes ne sont pas nécessairement sacrées!
Bref, Hitler serait bien allé au Moulin Rouge, si on lui avait fait des caresses sur les moustaches.
Thèse: De Gaulle
Anti-Thèse: Pétain
Synthèse: Jean-Marie Le Pen
Vive la Dialectique!
Os polícias e mais geralmente os funccionários públicos andam a manifestar. Tudo bem, é de lei. Mas esperem para ver quando os bandidos dos tributados começarem a protestar!
Sem querer ser provocador, pode-se dizer que o mundo seria um logar mais pacífico se o Adolf Hitler tivesse ganho a guerra. Porquê? Simples! De cada vez que há uma guerrazinha em qualquer lado, os occidentaes vêem com o palavreado do Bicho-Immundo Hitler, do Cobarde Chamberlain, do Heroe Churchill, de Munique e do appeasement. Ou seja, se a Guiné-Bissau tiver um incidente fronteiriço com o Senegal, só pode ser porque quer, e vae, conquistar o mundo. Quando isso acontece, os occidentaes têem que se metter sobre o seu cavallo branco e salvar o mundo. E nesse âmbito, não faz mal nenhum se fizerem as peores canalhices... hitlerianas!
Sinceramente, gente que pensa assim devia ler o “Gargantua” do Rabelais, nomeadamente o relato humorístico da guerra e daquelles que pensam que vão conquistar o mundo. Ça fait belle lurette qu'on a compris que ces idées sont ridicules.
O lado bom dos extremos que estão representados no Parlamento portuguez é que ainda não metteram a colher na sopa, ao contrário dos grandes partidos. Não partilharam ainda a governação, e é por isso que ainda não se corromperam completamente. Têem a possibilidade de dar uma opinião interessante e íntegra sobre os assumptos.
Creei o termo “porto-coco” (pronunciado em francez) para baptizar os portuguezes de França que são tendencialmente de Esquerda e que se preocupam com o crescimento do Rassemblement Nacional, e o discurso que diz que há francezes de sangue, verdadeiros, e falsos francezes, de papel.
O que é preciso dizer, é que estes “cocos” no fundo não acreditam na sua pertença a França. Sabem bem que não são francezes, que são portuguezes. Por isso é que têem medo que os verdadeiros francezes os expulsem...
André Ventura decidiu approximar-se, no Parlamento Europeu, dos "Patriotas pela Europa", encabeçados pelo Viktor Orban. Talvez seja cedo demais. Os nacionalistas do Chega podiam começar por não se inserir em nenhum grupo, e defender as suas próprias ideias, contra tudo e contra todos. Mais tarde, logo se via.
Contudo, pertencendo a um grupo, este é muito melhor do que aquelle a que pertence o Rassemblement Nacional da Marine Le Pen. É um passo com muita potencialidade. Um alívio, mesmo. Essa mulher é indigna e afugentou o pae do partido que creara, o Jean-Marie le Pen, um dos dois ou trez maiores heroes da Europa, só porque fez umas necessárias piadas sobre os judeus. E o que esse "Frontounet Nacional" quer, no fundo, é agradar aos que mandam no capital e no discurso, em França: os judeus. Sem fallar da promoção de perversidades como a homossexualidade e o aborto, tudo coisas que deviam ser penalmente prohibidas - severamente.
A Marine e o Bardella são vendidos aos judeus, dos mesmo modo que à Esquerda se vende aos muçulmanos. E francamente, as mulheres - e os italianos... - não devem mandar nos homens e na França, no momento em que ella está numa situação de guerra larvar que exige uma chefia com auctoridade. Além disso, essa gente é estupidamente "gaulliana", anti-petainista e anti-hitleriana, sem a menor subtileza. Ou seja, são a malta dos americanos... E depois, basta dizer que Salazar proclamou o lucto nacional quando Hitler morreu ou "morreu".
A grande vantagem da approximação ao Orban é representar uma normalização de relações com a Rússia. Também, os húngaros parecem ter tido uma posição equilibrada entre judeus e muçulmanos, tanto recebendo o Netanyahu como o Erdogan. É disso que precisamos.
Trez avisos, contudo. Orban é, senão crente, pelo menos de família protestante. Isso, para Portugal, terra de Nossa Senhora, é um não. E esta questão é muito relevante, porque a América algo protestante que manda em nós, que nos utiliza, que nos despreza um pouco porque nos vê como "papistas" idiotas e hereges, tem muito mais força do que qualquer paíz muçulmano. O protestantismo já fez muito mal à Europa e ao mundo. Hoje em dia é menos óbvio, o foco está mais na criminalidade dos muçulmanos, mas a heresia protestante é, duma forma subtil, mais perigosa do que se pensa. Basta dizer, se os americanos nos levarem para a guerra contra a Rússia, em menos dum mez haverá mais mortos do que aquelles que se produziram em todos os atentados dos ultimos cinquenta annos. O protestante, quando não é um bruto, é um falso e um manhoso.
Depois, Orban é um húngaro, ou seja, um pouco, um "anti-colonial". Relativamente aos austríacos e aos soviéticos. É possível que alguns heroes da Hungria tenham sido traidores de auctoridades legítimas. Isso é relevante porque para nos approximar da Rússia, vamos ter que fallar da questão colonial. Nomeadamente, vae ser preciso dizer aos russos que fizeram mal contribuir para a morte dos nossos soldados em África. Salazar tinha razão e os Soviéticos estavam enganados, a mactar a sua própria raça. Podemos perfeitamente dar garantias aos russos que não lhe poremos bombas nucleares nas fronteiras, e que também não fomentaremos revoluções coloridas sodomitas na Praça Vermelha. Mas não podemos deixar insultar os nossos mortos.
Finalmente, repare-se que o Orban é um pouco frouxo. Abdica sempre, depois dum pouco de theatro. Talvez seja porque a Hungria está encurralada no meio de inimigos e adversários. Mas Portugal não precisa de se vergar. Se os europeus nos chateiam, temos mar por onde navegar!
Viva a Raça, de Lisboa a Vladivostoc
O actual parlamento portuguez - 2024 - é bastante bom e equilibrado. Respira-se melhor em Portugal. O surgimento dos partidos de extrema-direita, os liberaes e os nacionalistas, é muito positivo. Como se dizia dos communistas noutros tempos em que queriam fazer umas mactanças: "elles também fazem falta!". Também é positivo que a extrema-esquerda esteja lá, mas com pouca força (menos que a extrema-direita pelo menos). A Esquerda às vezes é absolutamente odiosa, mas há certos themas que practicamente só ella discute: "elles também fazem falta!".
Está a mandar o centro-direita, ou seja quem tem juizo na cabeça. E a nossa mãezinha a todos - o Partido Socialista - está cá para se occupar de nós se tivermos um percalço na vida. Está tudo bem. Com um pouco de mobilização social, qualquer problema se resolve.
PORTUGAL É FIXE!
Surge de forma recorrente em Portugal o problema do accesso à água. No Algarve, a situação é habitualmente de seca. Tem havido debate por causa das permissões de furos, em explorações gigantescas de abacate por exemplo, porque põem muita pressão sobre os lençoes phreáticos, além de se assistir ao habitual favorecimento dos grandes endinheirados em detrimento dos pequenos agricultores, para os quaes as permissões tardam em apparecer. Ou seja, vê-se muita ganância.
Nesta questão o debatte, se calhar, está tão extremado como esteve ao longo do século XX. Os “Communistas” dizem “Quando é Público é de Todos”. E os “Anarcho-Capitalistas” dizem “Quando é de Todos Ninguém Cuida”. Ambos têem um poncto.
Agora a água dos lençoes phreáticos é um bem público privatizável, de accesso illimitado por parte de quem tem furos. Ao sugarem esta água, estes proprietários estão a privatizar um bem commum e mesmo um fluxo limitado, o das águas phreáticas e dos rios. No fundo, é preciso alguma forma de racionamento da offerta, porque a água, se é limitada, já não é própriamente o que os economistas chamam um bem público, ou seja, illimitado (como o ar que respiramos, digamos). Há o risco dos gulosos açambarcarem tudo, e não deixarem nada para os outros, e até para elles próprios no futuro (o fim dos bisontes!).
A regulação pública permite dar a cada um qualquer coisa, dando a “cada um segundo as suas necessidades”. O problema é que isso provoca preguiça e o problema do free rider. Se a água é “produzida”, recolhida, transportada e subsidiada para o consumidor, não o é para o pagador de impostos. Os primeiros exaggeram no consumo, e acabam com os recursos rapidamente, tanto quanto os selvagens capitalistas. Não há incentivo para trabalhar na indústria da água. Além disso, as pessoas não “precisam de água”. Precisam de água num determinado poncto, numa determinada qualidade, numa certa quantidade e num certo momento. Ora, os administradores públicos estão um pouco às cegas quanto a determinar essas necessidades. Só a sua intuição os pode guiar. São funccionários públicos, quaze inamovíveis, e por isso algo irresponsáveis salvos mobilização política popular, rara. Já os empresários são guiados pelo chicote das percas e dos lucros, produzidos por um systema de preços em constante variação segundo a offerta e procura. A diminuição da offerta – por exemplo por haver seca – faz aumentar os preços da água, e promove a sua poupança. Além disso os capitalistas, salvo privilégios do Estado, têem que respeitar a propriedade alheia. Não podem, por exemplo, brutalizar a sociedade submergindo uma aldeia debaixo duma barragem. Ou seja, até certo poncto o systema capitalista é um sinal de saudável liberdade e cooperação social, por opposição à coerção estatal.
Era preciso arranjar uma solução público-privada. O grande problema está no momento do “agarrar” da água disponível. Ahi tem que haver limites impostos pelo Estado. Por exemplo, permita-se um único furo por pessoa, por terreno ou por empresa. Idem para as captações de água dos rios. Depois, ponha-se contadores públicos, vigiados pelos burocratas, nesses furos, e imponha-se uma quota máxima de água a recolher, em funcção da pluviosidade do anno. Passada esta primeira phase, o mercado pode funccionar perfeitamente. Vae surgir um mercado da água daquelles que têem muita e pouca falta della, para aquelles que mais precisam (campos de golfo, por exemplo). As empresas e as associações podem crear redes de abastecimento, estações de dessalinização, transportes por camião, vigilância da segurança, engarrafamento e reservatórios particulares de água. O systema não é perfeito, mas funcciona razoávelmente. E no fundo, todo a gente admite que amanhãn as "lojas" estarão abertas.
Fica esta contribuição para o debatte: a synthese pragmática do Estado e do Capital.
No século XX, houve dois pensadores radicaes libertarianos, americanos, que reflectiram sobre o problema da poluição.
O primeiro, Murray Rothbard, escreveu o livro “For a New Liberty”. Ahi, defende o direito de propriedade privada sobre os bens da natureza e sobre aquelles que o homem tiver creado pelo seu trabalho. Mais do que isso, diz que não se pode definir o conceito de liberdade senão como a situação social em que os direitos de propriedade de cada um – sobre os seus bens e sobre o próprio corpo – são firmemente respeitados. Explica que a poluição deve ser considerada como uma aggressão, um crime contra a propriedade privada e contra a integridade physica das pessoas, e por isso travada pela força. É um argumento philosóphico.
O segundo, David Friedman, escreveu o livro “The Machinery of Freedom”. Tem uma perspectiva mais pragmática. Faz uma nuance relativamente ao argumento rothbardiano, nomeadamente que é impossível viver e produzir o que quer que seja sem poluir um pouco. E por isso, a questão que se põe é de saber até que poncto se vae auctorizar interferir com os outros. Por exemplo, deve-se prohibir as pessoas de pôr lenha na chaminé? Ou vae-se só pôr o halto quando um empresário um pouco selvagem pensar em fazer uma central a carvão ao lado duma cidade?
Na verdade, ambas as perspectivas fazem sentido. Até se poderia acrescentar factores ambientaes e ecológicos, como a belleza, a tranquillidade, o amor da natureza, que não são estrictamente liberaes-libertarianos. Se calhar, tem mesmo que haver leis incoherentes que defendem simultâneamente a liberdade de crear, produzir, e no limite poluir um pouco, em contrapartida com outras protecções ambientaes e do direito de propriedade. E depois disso, que cada um, cada perspectiva lucte na esphera pública, para que se atinja uma synthese equilibrada.
Note-se também que a evoluição da technologia pode ter resultados mais ou menos positivos. Por exemplo, é hoje possível fazer testes analyticos à água muito finos, e há a possibilidade de ver de forma negativa substâncias que noutos tempos nem se discerniam. Dahi até impôr prohibições exaggeradas só há um passo. Por outro lado, a technologia pode inovar de forma a limitar a poluição. Por exemplo, pode-se imaginar que se torne possível pôr filtros eficientes nos escapes das indústrias e dos carros.
Haja bom senso, boas ideias, prudência e sinceridade.
Agora que Portugal perdeu o Europeu, é tempo de renovar a camisola, a equipa, o treinador, e a federação. É preciso fazê-lo com equilíbrio e com boas maneiras, por respeito por aquelles que luctaram muitos annos pela Selecção.
A camisola tem que deixar de ser verde e vermelha. Estas cores representam a República, implantada sanguináriamente no seguimento do assassinato do Rei. Fernando Pessoa chamava-lhe a "erva que elles, republicanos, deviam pastar, pelo sangue que derramaram".
Na equipa, CR7 tem que arrumar as chuteiras. Já não está sólido emocionalmente. Além disso, não é digno de capitanear a equipa, porque foi comprar os seus filhos a barrigas de aluguer. Um vergonhoso tráfico de creanças. Pepe tem que ir jogar para Jerusalem, jà que o CR7 está em Riade: e faça-se em Portugal um torneio entre a Palestina e a Arábia. O João Félix pode ir jogar para a Mecca, e levar a namorada, que está a precisar de aterrar da high-life das redes sociaes, dando-lhe filhos: Arábia Félix. E dê-se a prioridade aos tugas puros, brancos, acyma dos luso-tropicaes. Não se tenha medo de dar força aos mais jovens: elles hão-de amadurecer. E promova-se jogadores do campeonato portuguez, que não sejam tão parolos e provincianos como aquelles que só pensam em ir para fora. A cidade são só luzes.
Treinador. Um portuguez pura gema, e rijo. Chegou a hora do Jorge Jesus. Arranje-se um clube ao Martinez na Guiné Luso-Tropical, para endurecer: precisa de deixar de ser tão sympáthico. Nunca se viu um hespanhol assim, até irrita.
Federação: afaste-se os peseteros do futebol commercial. Dê-se calendários saudáveis aos jogadores. Acabe-se com a pouca vergonha do futebol feminino. E reafirme-se o espírito nacional, racial e christão que está representado no emblema. Rui Sanctos?
GOOOOOOOOOOOOOOLO!
Ces jours d'élections tendues, les nationalistes devraient se réunir de façon permanente à la Place de la Nation. Et ensuite, marcher sur la Place de la République.
Les révolutionnaire de 1789 parlaient beaucoup de la Nation. Ils étaient passé de la monarchie patriotique, un peu "multidialectale", à la Nation souveraine, centralisatrice, homogène, qui écrasa les particularismes locaux. Leurs déscendants de gauche, par le mystère de l'Histoire, crachent sur l'idée nationale. Il est temps de revenir aux sources, de faire une nouvelle révolution pour reconstruire la Nation, rétablir le Thrône et honorer le Christ, dans le cadre d'une Sainte République.
Et sachez, français, que vous aurez toute l'Europe avec vous. Un de ces jours nous monterons tous à Paris.
Vive la Guerre!
Ce soir, pour le bien de la France, il faut que le Portugal ganhe le jeu de foot. L'Équipe de Françafrique a été complètement colonisée par une engeance insupportable de nègres et d'islamistes arrogants. La logique, raciste pour les blancs comme pour les nègres, c'est que ce dernier est fort comme un gorille, donc supérieur au blanc qu'on met de côté.
La Françafrique doit perdre, pour qu'il y ait une crise dans l'équipe, et que les blancs et les français de sang réaffirment leur primauté.
Força Portugal!
Cócórócó!
Se calhar, pode-se ver a clivagem entre Esquerda e Direita como uma briga entre os polos feminino/masculino. Um lado mais auctoridade e outro mais “nurture”. E no lado mau, brutalidade ou manha.
Francamente, o mundo tem das duas coisas, e equilibram-se. Mas é preciso que o lado masculino tenha mais força, mais brilho, como o Sol relativamente à Lua.
Em matéria de política portugueza, devia-se pensar fazer um grande partido de Regime que junctasse, ao centro, o Partido Social-Democrata e o Partido Socialista (mais o Movimento Partido da Terra, a Alliança, o ADN, o CDS-PP e os monárchicos). Até porque a actual conjunctura parlamentar favorisa a necessidade de allianças. Podiam chamar a este partido a “FORÇA”. Como cor de bandeira, o roxo que não é usado por enquanto. Uma espécie de “Alliança Real”. O lema: Liberdade e Tradição. Algo parecido com a “Rússia Unida” do Vladimir Putin.
Este partido precisaria de ser “extremista ao centro”, no bom sentido da palavra. Ou seja, interiorizar o que haveria de bom nas suas duas margens, mas governar com bom senso e com grandeza fraternal. Ter uma perspectiva nacionalista na política migratória, liberal na economia, communista na politica extrangeira e um tanto ou quanto bloquista quanto à Palestina e quanto ao capital extrangeiro e judeu.
FORÇA PORTUGAL!
Hoje em dia é mal visto dizer que o homem tem que mandar na mulher. O que é de lei é a egualdade entre homens e mulheres.
O problema com esta theoria é que não se vê muita egualdade por ahi. Vê-se mais o poder da mulher sobre o homem. O direito para ella de encornar, ficar com a casa e os filhos e exigir uma pensão par dessus le marché. O direito de se tornar cada vez mais preponderante no Estado e na política, assim como nos estudos, e cada vez menos relevante no lar.
Depois, em que é que ellas e “elles” defendem este dogma? Simples! No “Quero, Posso e Mando” gynecocrático. Algo que é tão pouco explicável e racionalizável como o seu pendente masculino. Ainda ninguém provou que a Egualdade é um valor incontestável. Até porque se oppõe à Liberdade e à Auctoridade.
Como isto é uma lucta de teimosias, os homens das cavernas não deviam ter vergonha de defender os seus interesses e prerogativas.
No systema penal judicial portuguez, há vários crimes relativos à "corrupção" no sentido lato da palavra. Corrupção passiva e activa. Peculato. Prevaricação. Tráfico de influência. E qualquer dia, enriquecimento ilícito.
Em bom rigor, a maioria das pessoas nem sabe bem o que dizem as leis, e o que significam (peculato?). Soa mal, e é tudo. O importante é que são um pouco vagas e existem, se bem que em Portugal raramente dêem em qualquer coisa. Tanto podem reprimir de forma abusiva a própria política, que é negociação permanente, como podem castigar de forma necessária negociatas escandalosas e anti-patrióticas.
Convem que haja bom senso nestes assumptos, da parte de políticos e magistrados.
Fiz queixa contra uma mulher mal educada da minha família por injúria. Basta de gynecocracia. Ellas também têem que soffrer. Os homens precisam de se libertar do excesso de veneração que têem pelas mulheres.
Ando há dez annos a ser perseguido e envenenado por esta máfia javarda que é a República Portugueza, no âmbito dum processo psychiàtrico. A minha saúde e a minha vida foram gravemente afectadas. E o crime continua, porque o processo não foi annulado.
Quem teve o processo em mãos inicialmente foram duas representantes castradoras desta detestável gynecocracia que nos governa: a juíza Hortense Marques e a psychiatra Madalena Serra.
Numa "sessão conjunta" no Tribunal de Villa Viçosa, todos sentados à mesma mesa (!), a Madalena limitou-se a defender o prolongamento do meu internamento-tractamento-compulsivo porque "precisava de mais tempo", sem dar uma única razão que explicasse que eu tinha alguma doença mental. Além disso sabia provavelmente que este processo tinha uma natureza política, visto que já tinha lidado commigo de forma coerciva num caso anterior de manifestação pública.
Quanto à Hortense, apesar de ter fallado commigo e de ter visto que tinha um discurso coherente, fez uma promoção em que me obrigava a submetter-me a tractamentos ambulatórios: um verdadeiro inferno. Dizia ella que tenho que me submetter ao médico naquillo que elle determinar, pelo tempo todo que elle quizer. Ou seja, abdicou da sua responsabilidade de controlar o poder médico.
Além disso, nessa sessão, estava presente uma procuradora que me enterrou, dizendo, quando nem estávamos num processo penal mas suppostamente numa situação em que eu era um "coitadinho doente", que eu era "um homem perigoso". Infelizmente, não tive o bom instincto de lhe partir os dentes a murro, dando-lhe razão. Vaca.
Não esqueci e quando chegar a hora tenciono castigar esta gente. Mas primeiro, é preciso trabalhar para derrubar o Regime.
There recently was a political meeting of the conservatives by Rishi Sunak. One saw him talking with a background of supporters: a few whites, and loads of indians.
Moreover, these days, there was a deadly stampede in India, at a political rally.
Now! One cannot avoid wondering if the Brits won't be crushed by the Hindus if they vote conservative.
Call it the Hindu Raj!
Les pro-palestiniens s'insurgent beaucoup contre ce qu'ils appellent une colonisation, c'est-à-dire la présence juive en Terre Sainte. C'est un fait, c'en est une. Et très méchante, qui plus est.
Et alors, croient-ils, ces pleurnicheurs, qu'il suffit de dire le mot "colonisation" pour que tout le monde s'effondre mentalement? Les arabes de Palestine sont majoritairement des colons islamiques, antérieurs aux juifs (ou pas...), et ayant détruit la chrétienté de l'empire romain.
Et puis, les espagnols, les portugais, les français, les anglais ont beaucoup souffert de nettoyage ethnique et racial et pro-islamique en Afrique. La décolonisation, qui est en grande partie une colonisation russo-soviétique. Des gens pacifiques qui n'avaient commis aucun crime contre les africains, qui étaient simplement des héritiers de gens qui étaient venus plus tôt, plusieurs générations et plusieurs siècles avant. Ç'est resté dans les mémoires. Sans parler du poison criminel que représentent les musulmans en Europe: attentats, coups de couteau et viols. Pourquoi pleurer et s'agiter pour les palestiniens, qui sont des "africains"? Ça fait belle lurette que les gens ont perdu leurs illusions sur ces gens.
Il faut voir le conflit en Palestine comme une lutte entre hérésies criminelles, à combattre et éradiquer: le judaísme et l'islam. En quelque sorte, une lutte entre nègres, pas plus importante que celles qui arrivent tous les jours dans la jungle. Les blancs, les chrétiens, doivent leur mettre une fessés: aux deux camps. S'imposer, les séparer et les coloniser.
Vive la Race!
Gloire au Christ!
Si la race blanche veut survivre, il va falloir qu'elle apprenne de nouveau à tuer. Et pas que des militaires. Surtout, de nos jours, des civils, des femmes et des enfants.
Pour ne pas se faire coloniser para l'immigration-invasion, il faut tuer les traîtres en position de pouvoir qui la promeuvent, ainsi que les migrants qui la représentent. Il faut couler les bàteaux, il faut esclavizer les femmes, et il faut tuer leurs enfants, de façon assumée et sur la place publique. Vive le Bourreau! Répondre à la peur et à la colonisation par la terreur. Les enfants grandissent, et suivent les pas aggressifs et destructeurs de leurs parents. Nous avons besoin de frontières, de nous opposer au métissage et au génocide, à l'islamisation-judaísation-négrification (il suffit pour cela de voir les nègres racistes de la honteuse Équipe de "France"). De déportations en masse, hitleriennes-staliniennes. Ça suffit de se soumettre aux jérémiades des associations, des journalistes et des patrons gloutons.
À la guerre aussi, il est légitime et nécessaire d'exterminer la population ennemie. Elle donne le pouvoir, par son vote et par ses impôts, aux soldats qui nous détruisent.
Nous avons besoin de réveiller le sentiment racial, et aussi, la violence raciale.
Les hypocrites et les imbéciles se choqueront des ces paroles. Mais ils ne s'opposent pas à la destruction de leur propre race, de leurs propres enfants, par la tragédie massive de l'avortement.
Allez Tous Vous Faire Foutre!
É preciso resistir às mulheres. Fazer-lhes guerra e braço-de-ferro. Conquistá-las. Combatter as suas manhas e traições. Oppôr-se aos seus crimes, especialmente o aborto, o adultério e os maus modos para com o seu marido. É preciso inscrever na Constituição da República que têem obrigação de se occupar das tarefas domésticas.
Mas também é preciso fazer attenção. As leis são o que são, e é fácil acabar com a “coleira”, isto é com a bracelette no tornozelo. E mesmo, na prisão, a fazer de mulher, o que não deixa de ser paradoxal, para typos muito viris.
Em suma, é preciso saber luctar, porque vae ser preciso vencer a gynecocracia, isto é derrubar o regime. Se calhar é preciso fazer como o Johnny Depp com a Amber Heard: processar a sua mulher!
Também, em termos de seducção, é preciso saber que no fundo, os homens não submettem as mulheres. Ellas é que se deixam conquistar, quando estão para ahi viradas, ou quando a barbaridade africana as faz perceber que têem que dar força ao seu sangue.
Há quinze ou vingte annos, alguém tinha apelidado os Gattos Fedorentos de cómicos do regime. Tinha razão no fundo, mas devia ter ficado calado. Naquella altura, o que elles queriam era somente dizer parvoíces e fazer rir. Hoje já faria mais sentido, porque têem mais responsabilidades e fazem política com a sua comédia.
Dos quattro, o “gatto-alpha” é o RAP. Elle tem piada e não tem. Sabe encontrar palavras picantes, mas a nível político é um palerma que defende todas as peores idiotices da Esquerda. É um tonto anti-fascista, no fundo, ou seja, um guardião do Regime.
Os outros, pelo menos o Diogo Quintela, são mais scepticos face ao “air du temps”. Mais sensatos no fundo. Como estão separados do RAP – lá está, estamos a lidar com um sacco de gattos - este último acaba por sujar-se e dizer asneiras, cahindo na maldade e intolerância. O alpha sem os seus bêtas não é alpha não é nada. Temos uma fracção de gatto fedorento!
E se, para equilibrar a coisa, reconstituíssemos a banda?
Como não paguei o "meu" imposto immobiliário, as Finanças mandaram-me um attaque fiscal e uma mulcta. Não o paguei porque não tenho dinheiro para tanto, e porque me aumentaram brutalmente as taxas: de 20 para 200 euros, além de me cobrarem por vários annos anteriores que já tinha pago. E quando reclamei, em trez repartições - Lagos, Portimão e Villa Viçosa - não me aliviaram.
Os Quenianos - avec majuscule, pour le coup! - é que têem razão. Isto anda a precisar dum jacquerie.
Viva a Prisão!
Ouve-se dizer frequentemente pelos mais velhos que no tempo de Salazar passava-se fome, e só se comia uma sardinha ao fim-de-semana.
Passar fome? Será isso uma verdade assim tão firme? Como é que se explica o crescimento exponencial da população e da economia durante o Estado Novo? Em 1940, havia mais de 5000 famílias com mais de dez filhos, segundo o estudo “A Assistência social e familiar do Estado Novo durante o Estado Novo”, de Irene Flumser Pimentel.
Nos dias que correm, há obviamente dificuldades materiaes. Mas como explicar que os extrangeiros, mais pobres, têem mais filhos do que os autóchtones brancos e christãos? Simples, estes deixaram-se possuír por uma mentalidade decadente. Ellas querem dedicar-se à carreira, e sobretudo não depender e não se submetter a um homem, um breadwinner. Elles são cornos, e não as encostam “entre a espada e o colchão”, exigindo-lhes filhos. Prepara-se as mulheres para os estudos e para o trabalho, e não para a família.
Acceita-se o discurso da Esquerda que se reivindica da Democracia, e que vê no patriarchado uma coisa essencialmente oppressiva.
Até a Direitinha nacionalista que vae surgindo por aqui e por ali tem medo de fazer o necessário braço-de-ferro com as mulheres. Rendeu-se à homossexualidade e ao alphabeto das perversidades. Defende a egualdade entre homens e mulheres, termo fallacioso que na práctica é o domínio destructivo da mulher sobre o homem: a gynecocracia. Defende a “liberdade da mulher”, que hoje em dia significa traições, adultério, aborto, contracepção, má vontade e maus modos, e vestuário sem pudor. Está paralisada mentalmente e moralmente, e inspira-se da loucura da América e da França. Parecem creanças subjugadas mentalmente pelas suas mães. Odeiam o mouro, mas não têem intelligência para perceber que a sua força é precisamente a sua hostilidade ao feminismo e à sodomia, tudo coisas altamente venenosas. E que só formando o “Allgarve”, ou seja a christandade islàmica, sobreviveremos. É preciso ser árabe para combatter os árabes. Submettem-se aos judeus e à sua pancada contros os seus irmãos de raça russos, mas não vêem que estes são sufficientemente racistas para não se miscigenarem nem se dissolverem. Não apprendem.
Na mesma veia, e de forma absolutamente indigna para a sua progenitura, admittem que a família seja destruída, pelo divórcio, entregando os filhos a cabras egoístas e opportunistas que os vão escravizar com pensões de alimentos, e perdendo a capacidade de moldar seus filhos e de lhes ensinar os valores da exigência, da Tradição e da Cruz. Anda por ahi muita Luciana Abreu.
Em bom rigor, os portuguezes não devem ter como prioridade combatter o africano. Devem sim dar umas vergastadas nas costas dos cornos e das vacas do seu próprio sangue. Há que acordar, e restaurar o poder masculino, porque a mulher é o prazer e o homem é o dever. Os últimos devem por norma ter a última palavra a dizer.
MUUUUUUUUHHHHHH!