(“Soral” c'est le surnom de comédien; “Bonnet” c'est le nom du père, ce qui ne devrait pas déplaire à quelqu'un qui a réhabilité l'hétéro-patriarcat toxique).
Mr Bonnet se retrouve dans une situation embarrassante, mais rigolote. Condamné a une peine de prison pour avoir appelé une grosse lesbienne de grosse lesbienne. On voit bien lá une spécificité suisse. C'est-à-dire, le côté nazi des allemands (dura lex sed lex), associé au côté cochon et permissif des latins romands.
Ça va être drôle de voir la Suisse faire figure de bouffone quand elle détiendra Alain Bonnet. Toute la terre rigolera. Mais celà aura une conséquence positive: Mr Alain fera finalement connaissance avec l'Afrique, pour qui il semble avoir un petit faible, principalement quand elle se courbe cinq fois para jour. Ceci dit, il faudra le protéger de pervers sexuels africains qui pourront lui en vouloir pour l'affaire Binti. Quitte à le juger et dénoncer s'il a fait quelque chose de répréhensible. Étant donné que en matière de femmes il est un peu joueur, il a peut-être marché sur la ligne rouge.
Ceci dit, Mr Bonnet a avoué dans un de ses livres qu'il avait eut une relation homossexuelle dans sa jeunesse, “juste pour essayer”. Techniquement parlant, c' est un enculé. Quiçá, un gros lesbien. Et ceci est punissable pénalement, dans une société sérieuse. D'une façon ou d'une autre, il risque de tomber en prison!
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